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ASSOCIATION CULTURE DU PAYS LOBI en abrégé «ACPL» est créé depuis octobre 2012, conformément à la loi N° 10/92/ADP du 15 Décembre 1992 portant liberté d’Association. Depuis 2019, elle est enregistrée auprès des autorités compétentes sous le récépissé N° RSUO/PPON 0060. Son siège est à Loropéni. Elle a été créée par un groupe de jeunes, pour la promotion des valeurs culturelles du Pays Lobi en particulier et le développement socio-économique et culturel de la Commune de Loropéni en général. L’ACPL est l’initiatrice et l’organisatrice de ce Festival dénommé « Loropéni Djoro Festival ».
Lieu: Loropéni (Province du Poni, Burkina Faso)
Vulgariser et promouvoir les valeurs culturelles des peuples du Pays Lobi.
Toute personne physique ou morale sur les problèmes de la valorisation de la culture en pays lobi.
Former les jeunes et les sensibiliser à ne pas oublier leurs valeurs culturelles.
Travailler en partenariat avec toute structure ayant les mêmes objectifs que l’ACPL.
Une solidarité agissante et d’entraide entre les différents membres au profit du développement de la Commune de Loropeni ;
Apporter son soutien pour la recherche de financements dans le domaine de la promotion culturelle.
De mener des activités jugées opportunes pour la promotion de la culture.
De travailler pour la création et l’émergence d’entreprises œuvrant dans le secteur culturelle.
Mener toute activité dans le cadre du développement de la Commune de Loropéni, voire de la région.
Afin de dynamiser davantage la richesse culturelle de cette région, et apporter ainsi une valeur ajoutée à l’économie locale, l’Association Culture du Pays Lobi (ACPL) a été créée. Elle travaille à la valorisation des expressions culturelles des peuples du Pays Lobi (habitants de cette région du Burkina Faso, mais aussi d’une partie de la Côte d’Ivoire et du Ghana) par l’organisation d’activités socio-culturelles diverses, dont la plus grande est le festival dénommé « Loropéni Djoro Festival ». A travers ce festival, plusieurs activités sont menées (musique, danse, marché, dessins, formations, conférences, etc), et toute une dynamique économique est remarquée en cette période. Pour mettre son action dans la durée, la vision de ACPL est qu’il faut mettre l’accent sur la formation des enfants, de la jeunesse, de la femme. Voilà pourquoi, la construction du Complexe culturel et éducatif a tout son sens : former culturellement l’enfant et la jeune fille burkinabèafin qu’ils aient plus de potentialités pour impacter leur environnement, et par là le développement de toute la communauté.
